Le syndrome prémenstruel est considéré comme un compagnon permanent dans la vie de pratiquement toutes les femmes. Et certains jours, les autres personnes de ton entourage se désintéressent des humeurs, de l’irritation et des crises de colère de tes proches.
Cependant, peu de gens savent que les hommes peuvent être atteints de cette maladie. Crois-tu à une autre légende ? Et non : la science a montré que le syndrome prémenstruel est plus répandu dans la moitié la plus forte de l’humanité. Seulement cette fois, on parle de syndrome d’irritabilité masculine (SPM). Et la testostérone en est souvent la cause.
Découvrons plus d’informations sur ce problème méconnu (le syndrome prémenstruel des hommes) !
Quels sont les symptômes du syndrome prémenstruel chez les hommes ?
- Ils sont comparables à ceux des femmes. Il y en a un certain nombre d’importants. Pour commencer, il y a un état de lassitude continuel, quelle que soit l’heure de la journée. Même après une nuit de sommeil réparatrice, un homme est presque incapable de faire quoi que ce soit.
- Deuxièmement, l’indifférence et la première mélancolie. Le gars ne semble pas se soucier de sa famille, de sa carrière, de ses loisirs, ni même de son émission de télévision ou de son jeu vidéo préféré. Il veut simplement qu’on le laisse tranquille.
- Troisièmement, la somnolence. Il est toujours sur le point de s’assoupir, qu’il soit assis devant son ordinateur ou dans la cuisine pendant le souper.
- Quatrièmement, altération du désir sexuel : soit il n’y a pas du tout de désir sexuel, soit il y pense simplement.
Quels facteurs peuvent contribuer à l’apparition du syndrome prémenstruel chez les hommes ?
- Ce trouble est causé par une carence en testostérone. Cela est dû à diverses raisons. Pour commencer, il existe plusieurs troubles : le diabète, l’obésité, l’hypertension, les infections aiguës et les maladies parasitaires. Une commotion cérébrale ou une lésion testiculaire peut entraîner une insuffisance de testostérone.
- Le stress est aussi l’une des raisons les plus répandues. Un travail difficile, des soucis financiers, un stress au travail ou à la maison – chacun de ces facteurs peut contribuer à un stress important. De plus, le stress élève le taux de cortisol, qui agit comme un inhibiteur de la synthèse de la testostérone.
- Le travail physique excessif a également un impact néfaste sur le corps. Si l’exercice physique est bénéfique pour la production d’hormones mâles, une activité physique excessive peut être négative. Cela inclut, mais sans s’y limiter, les entraînements durs et les exercices sur machine.
- Certains médicaments peuvent également faire baisser le taux de testostérone, surtout s’ils sont utilisés pendant une longue période. Par conséquent, nous devons faire preuve d’une extrême prudence lors de l’utilisation d’antidépresseurs, de médicaments pour réduire le cholestérol et de boosters de puissance.
- Et, bien sûr, l’apparition du syndrome prémenstruel chez les hommes entraîne le développement d’habitudes malsaines : l’alcool, en particulier la bière, le tabac et la consommation de drogues.
À quel âge les hommes peuvent-ils souffrir du syndrome prémenstruel ?
Entre vingt et quarante ans. Cette maladie est particulièrement dangereuse après l’âge de quarante ans. À ce moment-là, la production de testostérone chute naturellement. Et si tu y ajoutes la composante émotionnelle, le risque de développer le syndrome prémenstruel est considérable. Après tout, les hommes commencent à évaluer leur vie pendant cette période, à résumer : ce qu’ils ont fait, ce qu’ils n’ont pas réussi à réaliser…
À quel point ce syndrome est-il périlleux ?
Cela dépend de la cause. Si le syndrome prémenstruel est causé par un mal spécifique, nous devons le traiter immédiatement ; sinon, l’état du syndrome prémenstruel se détériorera. Un taux de testostérone constamment bas peut entraîner l’infertilité, l’ostéoporose et d’autres maladies. Cependant, elles sont surtout influencées par la mentalité humaine.
Le traitement du syndrome prémenstruel des hommes
Il n’existe pas de thérapie particulière pour les symptômes modestes des jours d’infortune masculine. Les fluctuations hormonales sont courantes chez un homme en bonne santé. Prends soin d’adapter ton mode de vie et ton alimentation. Le sommeil est essentiel pour rétablir la normalité aussi vite que possible. Tout le monde connaît l’adage « le sommeil est le meilleur remède ».
L’étape suivante consiste à modifier ton alimentation. Les aliments doivent être délicieux et nutritifs. Laisse les aliments rapides et les produits semi-finis pour les vacances et les excursions shopping.
Un régime nutritif contribuera à l’amélioration de l’état du SMR ainsi qu’à l’élimination d’autres troubles. Consommer des fruits, des légumes verts et des légumes te remontera le moral. Tu devrais consommer des aliments riches en fibres. Les céréales en contiennent. Contrairement à la perception commune, l’alcool et le tabac n’aident pas le corps à se détendre. Le corps reçoit une grande dose de produits chimiques nocifs et n’a pas le temps d’ajuster son humeur. Toutes les tentatives sont faites pour sauver le foie.
Repousse les grandes discussions et le règlement des relations pendant une « rébellion » de la testostérone dans le système masculin. L’homme d’aujourd’hui, comme la femme d’aujourd’hui, ne s’appartient pas, et les résultats qui en découlent peuvent être imprévus. Accorde-lui quelques jours de solitude.
Pour résumer
Le sexe avec une femme que tu apprécie aide à faire monter tes endorphines. Si ton taux de testostérone continue de baisser, ton médecin peut te prescrire un supplément pour compenser l’absence de l’hormone dans ton corps.
L’irritation masculine est un sujet peu étudié qui a inspiré un grand nombre de discussions. Il n’a pas été démontré que les cycles féminins ont un effet sur les cycles masculins et vice versa. On ne peut pas détecter l’irritation ou le désintérêt d’un partenaire.
Le syndrome d’irritation masculine est principalement de nature psychologique. Il n’est pas reconnu comme une affection médicale et n’a pas de certificat médical associé. Ce qu’il faut retenir, c’est que le syndrome d’irritation masculine n’est pas une maladie permanente et qu’il faut tout faire pour le gérer.